CR 7 – 2007
Vendredi 23 novembre 2007 IUT de Paris
Association des Enseignants de Communication en IUT
COMPTE RENDU N° 7
Assemblée générale de l’association en date du 23 novembre 2007, à l’IUT de Paris, de 14h à 16h.
Etaient présents : Brigitte CHAPELAIN, Isabelle ESCOLIN, Rodolphe DALLE, Anne-Marie HINAULT, Johanne LERAY, Mathilde NOUAILLER, Anne PARIZOT.
Etaient représentés par un pouvoir : Florence BRANLAND, Claude BREVOT-DROMZÉE, Guillaume BORDRY, Richard DUPUIS, Agnès GUÉNON, Florence HÉNON, Gérard LE MARC, Dominique RAUCHE, Annie-Claude VIGNOLO ;
La séance était présidée par Rodolphe Dalle, président, assisté d’Anne-Marie Hinault, secrétaire.
RAPPORT MORAL DU PRÉSIDENT (texte intégral) 2007 est une année qui marque, je crois, de manière nette un tournant dans la vie de l’association. D’une part, d’un point de vue pratique puisqu’il s’agit après un cycle de trois ans de renouveler le bureau mais aussi parce qu’elle a marqué tout à la fois de vraies réussites et en même temps a cristallisé des dysfonctionnements récurrents. À partir de ce constat liminaire, je voudrais esquisser le portrait de la vie de l’association pour 2007 et faire un bilan de mon expérience de président depuis ces 3 dernières années.
1. De quelques éternelles difficultés… La première faiblesse de notre association tient à la difficulté de créer un engagement régulier des membres. Depuis sa naissance chaque assemblée générale fait le constat qu’il ne se passe rien entre les rendez-vous que sont le colloque annuel et l’assemblée générale. La cause de cette faible mobilisation des membres réside dans deux facteurs concomitants : l’éloignement géographique et le manque de responsabilisation des membres. La conséquence en est une lenteur tout à la fois dans la prise de décision et dans l’action. La seconde faiblesse tient au manque de visibilité de l’association qui est caractérisé par une méconnaissance quasi totale de notre existence par la plupart des collègues et par les instances de gestion du système IUT (ADIUT, APLIUT, Ministère, partenaires institutionnels, économiques et sociaux). La dernière faiblesse, enfin, me semble résider dans une absence complète de reconnaissance de notre travail dans le champ disciplinaire des SIC. Ce constat est lié à une délimitation trop floue de nos activités et à des axes de programme souvent peu ou mal lisibles. Il faut ajouter cela une difficulté ponctuelle : le piratage de notre adresse Internet : http://aeciut.org. Le site n’est plus accessible désormais qu’à l’adresse : http://aeciut.nuxit.net.
2. De quelques habitudes à ne pas perdre… La principale réussite de l’association est d’abord de compter six années d’existence. Si cela paraît anodin, il n’en reste pas moins que le pari n’était pas gagné d’avance. J’ajoute aussi que la pérennité de l’association n’était pas séparable de celle du colloque. Je crois que l’habitude du colloque annuel est prise et avec elle s’est constitué un réseau restreint, certes, mais assez soudé pour parvenir à cet objectif. L’habitude d’une assemblée générale à date fixe constitue une deuxième étape qu’il faut encore ancrer dans les esprits. L’accroissement du nombre de réunions de bureau dans l’année depuis 2006-2007 et le travail pour trouver d’autres occasions de rencontre (journée d’études, journée de formation) ont contribué à vivifier les échanges et renforceront l’efficacité de notre fonctionnement. La deuxième chose positive concerne les aspects administratifs, au terme de six années d’existence nous avons enfin un fonctionnement raisonné (encaissement des cotisations, transmissions des documents à la préfecture, …) avec des outils, perfectibles, nous en convenons tous, mais qui permettent d’améliorer notre action (n° de siren, site web, plaquette, …). Enfin, l’ouverture est lancée tant au niveau du nombre de membres, qu’au niveau géographique, avec un premier colloque hors de la région Ouest et au niveau institutionnel puisque pour la première fois nous avons touché des subventions et nous avons des projets de partenariats avec les acteurs du système IUT (ADIUT) et de l’université (CERCI de l’université de Nantes).
3. De quelques préconisations… en forme de projet Une nécessité de réforme de la structure administrative : passage d’une structure statique à une structure dynamique du bureau
Un renforcement de notre visibilité : remise à niveau et amélioration du site Internet
Publication des travaux des colloques (bulletin de l’AECiut)
Création d’une collection : Pluriel(s) pratique
Mise en place d’une liste de diffusion.
Un développement du volet recherche : journée d’études et labellisation multiple de l’AECiut
Organiser une journée d’études entre l’AG et le colloque
Création d’une revue en ligne SIC et divers : Pluriel(s)
Mettre en place des conventions de partenariat avec des laboratoires de recherche universitaires
Un retour à des fondamentaux qui étaient à la naissance de l’association :
Action de formation
Partage d’informations sur le métier
4. De quelques orientations de budget Il s’agit de systématiser les démarches de subventions à l’occasion des colloques mais aussi en impliquant nos différents établissements. Maintenant que différents projets sont identifiés, il s’agit aussi de faire correspondre des actions de financement aux différents projets de l’AECiut. Enfin dans un contexte de réduction des financements des universités, il faut anticiper les difficultés financières qui pourraient survenir.
RAPPORT FINANCIER Le compte de l’association présente à ce jour un solde créditeur de 792,16 euros. Le rapport financier a été soumis à un vote de l’assemblée : approbation à l’unanimité. Il est paru à tous indispensable de rechercher des subventions pour notre association. Mathilde Nouailler a rappelé que chacun d’entre nous pouvait faire une demande de subvention auprès du Conseil d’Institut de son établissement.
PROJET DE CONVENTION DE PARTENARIAT CERCI NANTES Le partenariat avec le CERCI de Nantes prévoit deux demi-journées par an de séminaire interdisciplinaire, à Nantes ou à Paris. Les thèmes proposés pour les quatre années à venir sont : l’image, les émotions, la rhétorique et la communication, la gestion de projet. Les communications seront publiées sur la revue en ligne de l’association (en projet), Pluriel(s). Le principe est accepté à l’unanimité.
I. ADHÉSION À LA SFSIC (SOCIÉTÉ FRANCAISE DES SCIENCES DE L’INFORMATION ET DE LA COMMUNICATION) Le président a proposé que l’association adhère à la SFSIC, représentée lors de l’AG par Brigitte Chapelain. Résultat du vote : approbation à l’unanimité.
II. RELATIONS ADIUT Une action de communication auprès de l’ADIUT est à prévoir rapidement, si possible en février. L’association doit présenter clairement son registre d’activités et définir sa position face à la Centrale des IUT et IUT en ligne.
COLLOQUE 2008 Le colloque 2008 aura lieu les 22 et 23 mai à ROUEN. Le bureau a fixé une date de réunion qui aura pour but de préparer ce colloque, et plus précisément de définir les thèmes qui y seront abordés : le 7 février 2008 à 14h à Paris (lieu à définir).
III. RENOUVELLEMENT DU BUREAU DE L’ASSOCIATION Une rénovation du fonctionnement du bureau est proposée par Rodolphe Dalle. Le bureau, plus réduit que précédemment, est élu pour 3 ans. Comme l’indique le tableau ci-dessous , des missions précises sont définies pour chaque élu et chaque chargé de mission, désigné par le bureau.
Ont été élus à l’unanimité :
Rodolphe DALLE, président
Brigitte CHAPELAIN, vice-présidente
Nicole STRIDE, trésorière
Anne-Marie HINAULT, secrétaire
La secrétaire, Anne-Marie Hinault
Le président, Rodolphe Dalle